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Biographie Anthony Drew

27/10/2014

Une identité insulaire, un univers planétaire. Son histoire d’amour avec la musique commence à l’âge de trois ans, où Antonny s’initie au piano et montre très vite un talent inné et une oreille absolue.

C’est alors qu’il vit ses premiers frissons avec un instrument qu’il ne quittera plus. Le jeune guadelou-
péen a de qui tenir, il grandit au sein d’une famille mélomane, sur une île où la vie s’écoule en musique.

Entre 7 et 14 ans, Antonny fait une longue pause dans la pratique de son instrument avant de décider de se mettre au violon qui ne lui procurera pas le même plaisir que le piano.

Sans cesse en quête de nouveaux défis, à l’âge de 17 ans, il décide de s’essayer au chant et là encore, fait
preuve d’une aisance naturelle. Antonny est assidu et s’astreint à de longues heures de pratique afin de parfaire son instrument vocal jusqu’à atteindre une tessiture de cinq octaves et demie. Son talent ne
tardera pas à être reconnu puisqu’il s’illustre comme 2ème Lauréat au Défi Lycéen, concours alors parrainé
par Patrick Saint-Eloi, l’un des pionniers du zouk love et membre du légendaire groupe Kassav’. Ce
concours marque sa première incursion dans l’univers professionnel de la musique et lui permet de rencontrer des figures de la musique antillaise comme Frédéric Caracas ou Patrick Saint-Eloi qui avouera au jeune artiste se reconnaître en lui.

Premier tournant dans sa carrière, ce concours le conforte dans l’idée qu’il est sur la bonne voie : il sera chanteur.

Dans sa jeunesse, Antonny baigne dans des univers musicaux très différents, tels que le jazz, le reggae, la musique classique, caribéenne... Ces différentes influences et sa formation classique tout comme ses
racines se retrouvent dans sa musique et ses textes tantôt en créole, français ou encore en anglais, une identité inscrite dans une île, la Guadeloupe, véritable carrefour géographique et culturel. Il admire des artistes aussi variés que Bob Marley, Luther Vandross
ou encore Charles Aznavour pour la beauté des textes. Ces diverses influences ont forgé l’univers musical métissé d’Antonny Drew intégrant soul, reggae, kompa et zouk, l’inscrivant dans la nouvelle vague de la chanson caribéenne qui privilégie les sonorités acoustiques et des textes porteurs de sens identitaire et culturel.

Ces différentes influences et sa formation classique tout comme ses racines se retrouvent dans sa musique et ses textes tantôt en créole, français ou encore en anglais, une identité inscrite dans une île, la Guadeloupe, véritable carrefour géographique et culturel. Il admire des artistes aussi variés que Bob Marley, Luther Vandross ou encore Charles Aznavour pour la beauté des textes. Ces diverses influences ont forgé l’univers musical métissé d’Antonny Drew intégrant soul, reggae, kompa et zouk, l’inscrivant dans la nouvelle vague de la chanson caribéenne qui privilégie les sonorités acoustiques et des textes porteurs de sens identitaire et culturel.

Une voix, de l’émotion Rien de tel que les voyages pour nourrir son inspiration, il part faire ses études d’anglais à Paris, mûrit son projet, part à la rencontre du public, croise de nouveaux artistes et producteurs, et commence, sans le
savoir, à écrire sa légende. Le jeune artiste se lance alors dans la composition et l’écriture pour mettre en musique ses émotions, ce qui donne lieu à un EP qui le révèle au public en 2010 avec « Telling You ».

Après cette première expérience en studio, il fait en 2012 une rencontre déterminante avec Miguel Marie-Magdelaine, PDG de Sérénité Events, label spécialisé dans la nouvelle scène latino-caribéenne.

Superbe coup du destin, il intègre alors son équipe et leur collaboration donne vite naissance à un tube : «Péyi An Mwen », titre accrocheur aux sonorités cari-
béennes et rendant hommage à ses racines créoles.

Le single est sur toutes les ondes et permet à Antonny de se faire connaître auprès d’un public plus large et de fouler plusieurs scènes parisiennes comme le Casino de Paris en première partie de La Perfecta, la Scène Bastille, le Bataclan...

Un deuxième single « Doo » voit le jour deux mois plus tard, superbe morceau autobiographique sur la perte de l’être aimé qui met en avant la puissance vocale du jeune chanteur et sa sensibilité. Le troisième single s’intitule « Premyé Fwa » : un son d’inspiration kompa
très dansant, sorti en juin 2013, enregistré en condition de live avec des musiciens haïtiens pour un son authentique et qui s’imposera comme un hit du continent européen aux Antilles. Le clip, tourné à New-York, se base sur le modèle « Thriller » de Michael Jackson avec Antonny qui poursuit sa belle dans les rues et lui fait une déclaration enflammée, avant de l’entraîner dans une danse en plein Central Park au milieu de zombies.

C'est avec un titre fédérateur aux sonorités résolument caribéennes qu'Antonny Drew démarre cette nouvelle année 2014 : "Yalla Yalla". Un rythme enlevé, un message fédérateur, un refrain entraînant associés au timbre de voix suave et ensoleillé du jeune chanteur font du single un nouveau hit. Le titre "Yalla
Yalla" qui signifie "va de l'avant" est un appel à la détermination et prône le travail et la positivité comme gages de réussite, des valeurs qu'Antonny Drew applique dans sa propre vie comme il dit dans le texte : "Si tu veux qu'on te dise où est le chemin du succès, tu n'as plus qu'à viser la lune, frôler les
étoiles". Ce titre correspond à la philosophie qui a guidé l’artiste travailleur acharné à travailler dur pour réaliser ses rêves, parcours qu’il résume bien dans « Yalla Yalla » en disant que "Vaincre sans peine c'est triompher sans briller", image qu’il a souhaité illustrer dans son clip avec un décor spectaculaire : la
chaîne des Alpes pour symboliser son ascension vers la réussite. Le scénario met en scène Antonny Drew adulte face à lui-même enfant et lui insufflant un message d’espoir et de confiance en soi et en son avenir.

Ces premiers titres montrent la versatilité de l’artiste et sa capacité à placer sa voix puissante aux influences soul sur n'importe quel style musical.

#STORY, un album, une histoire C’est en mars 2014 que voit enfin le jour le tant attendu premier album d’Antonny Drew : « Story » un "album concept" conçu comme un livre, dans lequel Antonny Drew nous raconte sa vision de l'amour
universel, douze titres à travers lesquels il se livre et nous fait voyager au rythme de son histoire d'amour avec son pays d'abord, sur un plan plus personnel ensuite. L’artiste auteur-compositeur nous livre des mélodies puissantes aux textes conscients, imprégnés de sa culture métissée.

Il apparaît important pour lui de représenter le pays d’où vient son inspiration, à travers des titres comme «Péyi An Mwen » qui rend hommage à son beau pays, ou encore « Gwada Ka Pléré » dans lequel il chante la détresse d’une île en proie à la violence et des difficul-
tés loin du pays rêvé et idéalisé que célèbrent les diasporas.

Désireux de chanter ce qui lui ressemble, l’album d’Antonny Drew n’est composé que de créations originales et ne comprend qu’une seule reprise d’un classique de Gilles Floro : « On Doucè ».

Les autres titres sont tous liés par un même thème : une histoire d’amour qui a démarré avec une rencontre contée dans « Premyé Fwa », s’est concrétisée par une déclaration avec « Mwen Lov » et s’est achevée sur «Doo ».

Un piano-monde à découvrir sur scène L'album est à l'image de l'artiste : touchant, coloré, versatile, tantôt nostalgique tantôt gai et plein d'entrain, d'espoir, de positivité et de détermination. Les rythmes varient de la ballade soul au kompa avec des touches de reggae ou zouk, autant de styles qui reflètent le métissage de l'artiste sous différentes facettes dans la lignée de ses trois premiers singles.

Une tournée live accompagne la sortie de l’album au printemps-été 2014, l’occasion pour Antonny Drew de présenter ses créations en live et aller à la rencontre de son public.

 

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